In my mailbox

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Je reprends le terme « In my mailbox » plutôt que de continuer avec « Mes derniers achats » pour pouvoir y inclure les emprunts.  L’idée c’est de partager les livres achetés, reçus en partenariat ou  empruntés à la bibliothèque ou des amis. Cette initiative  a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie et est initialement prévue chaque semaine, mais ça ne sera pas le cas pour moi, je n’ai pas suffisamment de mouvements de livres pour me le permettre.

J’ai – un peu – craqué lors de mon passage au Quai du Polar hier. J’ai réussi à obtenir les dédicaces de nombreux auteurs. Bon ma PAL à littéralement explosée avec tous ces derniers achats.

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Achats Quai du Polar

Casanova et la femme sans visage de Olivier Barde-Cabuçon

On m’a vanté ses romans dans lesquels les enquêtes se passent sous le règne de Louis XV. Et puis chauvinisme oblige l’auteur est lyonnais 😉

1759. Une femme sans visage est retrouvée dans Paris. Volnay, le « commissaire aux morts étranges », se charge de l’enquête. Surveillé de près par Sartine, qui voit d’un mauvais œil ce policier hors normes, Volnay, secondé par un moine étrange et Casanova lui-même, remonte la piste d’un crime qui pourrait impliquer la Pompadour et jusqu’à Louis xv en personne.

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Purgatoire des innocents de Karine Giebel

J’ai trop attendu avant d’acheter ce livre, je suis fan de ce qu’écrit Karine Giebel. J’ai eu la chance d’échanger plusieurs fois avec elle à distance et de la rencontrer hier au Quai du Polar. Une auteure très sympa, disponible et discrète.

Je m’appelle Raphaël, je viens de passer 14 ans de ma vie derrière les barreaux. Avec mon frère, William, et deux autres complices, nous avons dérobé 30 millions d’euros de bijoux. Ç’aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang. Deux morts et un blessé grave. Le blessé, c’est mon frère. Alors, je dois chercher une planque sûre où Will pourra reprendre des forces.
« Je m’appelle Sandra. Je suis morte il y a longtemps dans une chambre sordide. Ou plutôt, quelque chose est né ce jour là… »
Je croyais avoir trouvé le refuge idéal. Je viens de mettre les pieds en enfer.
« Quelque chose qui parle et qui marche à ma place. Et son sourire est le plus abominable qui soit… »

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Des pas sous la cendre de Laurent Scalese
Autre auteur rencontré, très ouvert,  avec qui j’ai pu m’entretenir plus d’ 1/2h. Je ne le connaissais pas mais il a su me captiver et me donner envie de mieux découvrir ses romans.

Depuis plusieurs mois, la Brigade de répression du banditisme traque les auteurs d’une série de hold-up dirigés de main de maître dans Paris par une femme mystérieuse. Les exploits des malfaiteurs qui ne font pas verser de sang partagent l’opinion publique. Chargé de l’enquête, le capitaine Sage Gardella se prend d’admiration pour l’ingénieux chef de la bande. Mais un jour, la bavure se produit : deux convoyeurs sont froidement tués pendant l’attaque d’un fourgon blindé. La « Casseuse du siècle » acquiert une réputation de monstre. Profitant de ce revirement, le commissaire en chef met en jeu les grands moyens pour l’appréhender. Cependant, Gardella pense avoir découvert la véritable identité de la voleuse, dont il est tombé amoureux. Voulant la démasquer avant les autres, il décide de mener seul son enquête. L’amour et le devoir resteront-ils inconciliables ?

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Adieu  de Jacques Expert

J’ai découvert il y a peu de temps cet auteur et j’ai déjà lu « Qui ? » et « Ce soir je vais tuer l’assassin de mon fils »  et je me suis sans difficulté laissé convaincre de lire ce roman, le meilleur paraît-il aux dires des fans présents pour sa dédicace .

2001, Châtenay-Malabry. Une mère, son fils et sa fille sont retrouvés assassinés à leur domicile. Le père est porté disparu. Est-il lui aussi victime ou bien coupable ? Les recherches s’organisent, sous la direction du commissaire Langelier. Un mois plus tard jour pour jour, c’est au tour d’une seconde famille, tout aussi ordinaire, d’être abattue dans des circonstances identiques. Là aussi le père est introuvable. Presse, politiques, police, les avis sont unanimes, un tueur en série est à l’œuvre. Seul Langelier s’entête à concentrer tous ses efforts sur la piste des pères, qu’il soupçonne d’être à l’origine des massacres. Devant son obstination et son manque de résultats, son supérieur, le commissaire Ferracci, est obligé de lui retirer l’affaire. Commence alors entre les deux hommes une guerre froide, chacun s’efforçant de démontrer sa propre vérité, qui ne prendra fin que dix ans plus tard avec la révélation d’une incroyable réalité.

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Série Z de J.M.Erre

Cet auteur m’a complètement séduit, après avoir lu « Le mystère Sherlock » et « La fin du monde à du retard » je retourne dans son univers décalé et remplit d’humour avant beaucoup de plaisir.

Félix Zac vit aux crochets de Sophie – qui a de nombreuses qualités, dont la plus remarquable est de supporter Félix. Elle a seulement des doutes, parfois, sur la santé mentale de son ami, qui a tendance à mélanger fiction et réalité. Cinéphile, Félix écrit des scénarios qu’il n’achève jamais. Jusqu’au jour où, mystérieusement inspiré, il met un point final à L’Hospice de l’Angoisse. L’intrigue se passe à la Niche Saint-Luc, joyeuse maison de retraite où de vieux acteurs terminent leur existence. Dans cet établissement au-dessus de tout soupçon, un cadavre va semer le trouble.

2 réflexions au sujet de “In my mailbox”

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