Le principe de ce rendez-vous est simple, il faut répondre à trois questions chaque lundi:
“Le Cercle” de Bernard Minier
Un second roman attendu et dévoré, Bernard Minier signe encore un très bon polar.
Editeur : Edition Pocket – 790 pages
Ma note: 4.5/5
L’histoire :
Un meurtre dans la ville de Marsac qui rappelle à son passé le commandant Servaz. Un fugitif introuvable qui semble planer sur ce drame. Voilà une enquête qui va mener notre commandant et son équipe sur les traces d’un passé douloureux et de nouveau ressentir cette froide peur qui semble les poursuivre.
“Et si c’était vrai” de Marc Lévy
Un roman sur l’amour, l’espoir et la (re)naissance de soi
Editeur : Editions Pockett – 252 pages
Ma note: 3.3/5
L’histoire :
Lorsque Arthur découvre le “fantôme” d’une jeune femme, dont le corps est dans un coma profond, il ne sait pas encore combien sa vie va être bouleversée. On va suivre son périple parfois avec humour, parfois avec détresse.
“Park Avenue” de Cristina Ager
Une plongée dans le monde de la finance new-yorkaise.
Editeur : Edition Le livre de poche – 480 pages
Ma note: 3/5
L’histoire :
La découverte du monde de la finance, empire puissant en apparence mais si fragile en réalité. On pénètre dans l’univers de la famille Darling qui devra affronté les remous d’un scandale financier.
“Paul Ross a épousé Merrill, fille de Carter Darling, un financier milliardaire. Le jeune avocat sudiste s’est vite habitué au luxe de sa vie new-yorkaise : appartement sur Park Avenue, weekends dans les Hamptons… Lorsque Paul perd son emploi, Carter lui propose de diriger l’équipe d’avocats de son fonds spéculatif, une fabuleuse opportunité alors que le pays connait sa pire crise financière depuis la Grande Dépression. Mais la chance ne va pas durer : à la suite d’un événement tragique, les Darling se retrouvent sous les feux des médias, compromis dans un scandale qui pourrait radicalement changer leur vie. Paul doit alors choisir son camp : sauver sa peau et trahir sa femme et sa belle-famille, ou bien protéger l’entreprise familiale coûte que coûte.”